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    L’ambassade de la Turqiye (Ex Turquie) au Burkina Faso a offert mercredi soir, une fenêtre de visibilité à des artistes plasticiens africains, dans le cadre de la promotion de la diplomatie culturelle entre la République de Turqiye et le Burkina Faso, a constaté l’AIB.

    L’ambassadrice de la République de Turqiye (Ex Turquie) , Nilgün Erdem Ari
    L’ambassadrice de la République de Turqiye (Ex Turquie) , Nilgün Erdem Ari

    L’ambassadrice de la République de Turqiye (Ex Turquie) , Nilgün Erdem Ari, a accueilli dans la soirée du mercredi 8 novembre 2023, au sein de sa résidence à Ouagadougou, une exposition d’arts plastiques, dans le cadre de la

    4e édition du Marché d’art contemporain de Ouagadougou (Wékré).

    Selon Mme Erdem Ari, cette activité entre dans le cadre des festivités du centenaire de la création de la République de Turqiye et de la promotion de la diplomatie culturelle entre son pays et le Burkina Faso.

    Il s’agit aussi de profiter de cette soirée pour mettre en contact des artistes africains et turcs avec de potentiels clients.

    « Je crois sincèrement qu’à travers la promotion de l’art et de la culture, la cohésion sociale, la solidarité et le retour à la paix sont favorisés », a dit Nilgün Erdem Ari.

    Le secrétaire exécutif du Collectif Wékré, Aboubacar Sanga, a vivement remercié la diplomate pour cette opportunité.

    Il a rappelé que la 4e édition du Marché d’art contemporain de Ouagadougou se déroule du 6 au 12 novembre 2023 de 8 à 17h30 au parc urbain Bangréwéogo de Ouagadougou.

    Selon lui, Wékré veut donner l’occasion aux Burkinabè de se procurer chez eux, les œuvres d’art de leurs compatriotes.

    « Le Burkina regorge de talents. Ce n’est pas normal qu’on puisse avoir autant de talents et ne pas avoir la possibilité de retrouver leurs œuvres d’abord chez les Burkinabè et ensuite chez les amis du Burkina Faso », a expliqué M. Sanga.

    De son avis, les artistes africains qui ont accepté de venir au Burkina Faso dans ce contexte sécuritaire difficile, sont de véritables amis du Pays des Hommes intègres.

    Aboubacar Sanga a donc tiré son chapeau aux artistes venus du Sénégal, de la République démocratique du Congo, du Togo, du Niger, de la Côte d’Ivoire, du Mali et du Bénin.

    Il a demandé un banc spécial pour la commissaire de l’exposition, l’Ivoirienne Mathilde Moreau, peintre et Directrice honoraire de l’école des beaux-arts d’Abidjan.

    Notons que l’exposition étant consacrée à la femme, ce sont les femmes de la cour royale de Tiébélé dans le Centre-sud du Burkina Faso qui sont les invitées d’honneur.

    Ces femmes sont les gardiennes d’un savoir-faire ancestral à savoir les peintures murales qui ornent la cour royale de Tiébélé et d’autres bâtiments.

    Pour Aboubacar Sanga il est important de soutenir l’œuvre de ces femmes, inscrite sur le patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Il souhaite qu’on leur confie la décoration de nombreux bâtiments pour y laisser des empreintes de notre identité culturelle.

    Pour la porte-parole des femmes de la cour royale de Tiébélé, Assèta Nassara Idogo, il faut valoriser la culture burkinabè à travers le monde, en commençant par la jeunesse qui ne s’intéresse plus à la culture et aux traditions.

    Elle s’est dite heureuse de partager ses connaissances avec autant d’artistes.

    Agence d’information du Burkina

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