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  • 1,79 milliard d’euros pour lutter contre la famine en Afrique de l’Ouest et au Sahel

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    La communauté internationale se mobilise pour aider à lutter contre la famine en Afrique de l’Ouest et au Sahel. La FAO, l’organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation a annoncé jeudi avoir réuni la somme de 1,79 milliard d’euros.

    1,79 milliard d’euros ont été réunis pour lutter contre la famine en Afrique. Les États-Unis ont promis d’augmenter leur aide, tout comme l’Union européenne qui s’est engagé à donner 67 millions d’euros supplémentaires pour une enveloppe globale de 240 millions sur 2022. Quant à la France, elle devrait contribuer à hauteur de 166 millions d’euros sur l’année.

    Des pays développés et plusieurs organisations ont dit vouloir augmenter leur participation alors que l’évolution de la situation dans la région inquiète au plus haut point, associations et ONG. Quelque 27 millions de personnes souffrent à ce jour de malnutrition dans la région du Sahel central et du bassin du Lac Tchad.

    « Une guerre contre la sécurité alimentaire mondiale »
    Un chiffre déjà extrêmement élevé qui pourrait rapidement atteindre « 38 millions de personnes d’ici juin si des mesures ne sont pas prises de manière urgente », alertait mardi, la FAO. Oxfam ou Action contre la faim ont fait part eux de leurs inquiétudes concernant une « chute brutale de l’aide internationale en Afrique ».

    Pour ces associations, la région connaît sa pire crise alimentaire depuis une décennie. Les raisons de cette situation sont multiples : sécheresses, conflits, impacts de l’épidémie de Covid-19 et maintenant la guerre en Ukraine et ses conséquences, comme l’augmentation du prix des denrées alimentaires. « La guerre de Poutine contre l’Ukraine est aussi une guerre contre la sécurité alimentaire mondiale (…) Les régions du Sahel risquent d’être les premières à en faire les frais », a dénoncé le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian.

    Face à cette situation, le président nigérien Mohamed Bazoum a plaidé pour une augmentation significative et urgente des financements internationaux lors d’une réunion sur le sujet organisé par l’Union européenne et le Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.

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