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    © Mulugeta Ayene/Copyright 2018 The Associated Press. All rights reserved. Une femme dans la région somali, en Ethiopie

    Nous sommes dans la région Somali, à l’extrême est de l’Ethiopie. La zone fait partie des endroits les plus touchés par la sécheresse qui frappe le pays depuis plusieurs mois. Cette école primaire en a fait les frais. Ici, auparavant, les journées étaient rythmées par les allées et venues des élèves

    Nous sommes dans la région Somali, à l’extrême est de l’Ethiopie. La zone fait partie des endroits les plus touchés par la sécheresse qui frappe le pays depuis plusieurs mois.

    Cette école primaire en a fait les frais. Ici, auparavant, les journées étaient rythmées par les allées et venues des élèves. Mais depuis, c’est le calme plat. L’école est fermée. Ce que regrette le jeune Ahmed Yesuf, 14 ans.

     » Notre école est fermée en raison de la sécheresse. Ma vie scolaire, mes professeurs et mes camarades de classe me manquent tellement. J’attends la réouverture de l’école. »

    Il faudra encore quelque temps avant que le jeune Ahmed et d’autres jeunes éthiopiens puissent reprendre le chemin de l’école. Car dans les régions Somali et Oromia, qui sont les plus touchées par la sécheresse, plus de 400 écoles ont été fermées complètement et 727 autres, ont partiellement fermé leurs portes.

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