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  • Transfert d’un détenu de Guantanamo au Maroc, selon le Pentagone

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    L’administration du président Joe Biden a transféré son premier détenu de la base militaire américaine de Guantanamo, un Marocain qui a été rapatrié, a annoncé lundi le Pentagone.

    « Le département de la Défense a annoncé aujourd’hui (lundi) le transfert d’Abdellatif Nacer du centre de détention de Guantanamo au royaume du Maroc », a indiqué le Pentagone dans un communiqué, ajoutant que 39 personnes étaient encore emprisonnées à Guantanamo.

    La libération d’Abdellatif Nacer, jamais inculpé, avait été recommandée par l’administration Obama en 2016, « sous réserve de garanties de sécurité et de traitement humain » selon le Pentagone, mais il était resté emprisonné pendant la présidence de son successeur, Donald Trump. Barack Obama avait ordonné la fermeture de Guantanamo, en janvier 2009, à son arrivée au pouvoir, dans l’idée de faire juger les prisonniers par des tribunaux civils.

    Mais la décision, très impopulaire, a été bloquée au Congrès. M. Obama a alors préféré faire libérer discrètement des centaines de détenus dont la sortie avait été approuvée par la Commission de révision (PRB) de la présidence.

    Ces libérations ont été interrompues sous Donald Trump. Ancien vice-président de Barack Obama, Joe Biden « reste engagé » à femer Guantanamo, a assuré en avril sa porte-parole, Jen Psaki.

    L’administration Biden « est attachée à suivre un processus réfléchi et minutieux en vue de réduire de manière responsable le nombre de détenus de Guantanamo tout en préservant la sécurité des Etats-Unis et de leurs alliés », a indiqué le département d’Etat lundi dans un communiqué.

    La prison de Guantanamo a été ouverte en 2002, en territoire américain à Cuba, pour détenir des membres d’Al-Qaïda et complices présumés des auteurs des attentats du 11-Septembre 2001.

    La prison est devenue une épine dans le pied de Washington, accusé de détention illégale, de violations des droits humains et de torture.

    Elle a compté jusqu’à 780 « prisonniers de guerre », la plupart incarcérés malgré des preuves fragiles sur leur implication. Beaucoup ont été torturés dans des sites secrets de la CIA avant leur transfèrement à Guantanamo. Seuls une dizaine d’entre eux ont été inculpés.

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