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  • Mali: le parti Parena craint un prolongement de la période de transition

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    © RFI/Paulina Zidi Le Parena, parti de Tiébilé Dramé, s’inquiète des chantiers mis en place par le nouveau Premier ministre.

    Les nouvelles autorités de transition maliennes respecteront-elles les délais prévus ? Certains en doutent. Le Parena, le parti de Tiébilé Dramé, craint que le Premier ministre ne « prépare les conditions d’un prolongement de la période transitoire ».

    Initialement, la junte militaire au pouvoir depuis le coup d’État du 18 août 2020 avait fixé la durée de la transition à 18 mois. Des dates ont même été annoncées pour les prochaines élection présidentielle, en février 2022, et législatives, en mars de la même année. Ces élections doivent acter le retour du pouvoir à des civils élus.

    Après son second putsch en mai, le colonel Assimi Goïta s’est autoproclamé président et a nommé un Premier ministre, Choguel Maïga. Il s’est engagé, auprès des Maliens et des partenaires internationaux du Mali, à respecter les délais.

    « Le temps me paraît trop court pour faire tout cela »
    Le porte-parole du Parena, Sidi el Moctar Kounta, estime qu’il y a actuellement une cacophonie au sein de l’exécutif : « Nous aurions aimé que ce ne soit pas le cas, mais le fait est qu’il s’installe de plus en plus une cacophonie au sommet de l’État. Le Premier ministre, ignorant l’engagement présidentiel, annonce l’ouverture d’un chantier aussi hasardeux, comme celui des Assises nationales de la refondation. Le Premier ministre entretient un flou artistique sur le respect de la durée convenue de la transition. »

    Pour lui, les Assises nationales de la refondation vont forcément entraîner un prolongement de la période transitoire : « Les chantiers que le Premier ministre veut ouvrir visent à préparer les conditions d’un prolongement de la période transitoire, parce que le temps restant ne saurait suffire pour entreprendre l’organisation non consensuelle d’assises de la refondation. Ensuite, de conduire aussi toutes les réformes et organiser la présidentielle et les législatives. Est-ce que le temps le permet ? Est-ce que les moyens mêmes de l’État le permettent ? Cela n’a été décidé nulle part, ce n’est convenu avec personne. Et combiner avec toutes les autres formes, plus les élections… Le temps me paraît trop court pour faire tout cela. »

    RFI

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