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  • Macron giflé dans la Drôme : ce que l’on sait des deux personnes interpellées

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    Alors qu’Emmanuel Macron sortait d’un lycée hôtelier à Tain-l’Hermitage (Drôme) ce mardi 8 juin et saluait la foule qui l’attendait, un homme en a profité pour le gifler en criant « Montjoie Saint-Denis », un cri de guerre royaliste. Les images sont rapidement devenues virales et l’ensemble de la classe politique, de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen, a apporté son soutien au chef de l’Etat.

    Deux personnes ont été interpellées et sont entendues par les gendarmes. « L’Obs » fait le point sur les éléments connus.

    Que s’est-il passé ?
    Dans une vidéo diffusée sur Twitter et authentifiée par l’entourage du chef de l’Etat, Emmanuel Macron est vu se dirigeant rapidement vers un groupe de personnes massées derrière des barrières pour les saluer, au premier rang desquelles un homme portant un tee-shirt kaki, une barbe noire et les cheveux longs.

    Saisissant l’avant-bras du président, l’individu semble lui porter ensuite un coup sur la joue, l’entourage d’Emmanuel Macron évoquant une « tentative de gifle ». Dans cette même vidéo, juste avant la gifle, est lancé le cri de guerre royaliste « Montjoie Saint-Denis ! », ainsi que « A bas la macronie ».

    Qui est l’agresseur présumé ?
    Selon les informations de nos confrères du « Figaro », Damien T. serait l’agresseur présumé. Il a été interpellé par les gendarmes du Peloton de Surveillance et d’Intervention de la Gendarmerie (PSIG) de Valence avec un autre homme, Arthur C. Des sources proches du dossier ont confirmé leur identité à l’AFP. L’un des deux hommes est suspecté d’avoir giflé le chef de l’Etat, l’autre d’avoir filmé la scène, selon BFMTV.


    Ils sont tous les deux nés en 1992 et originaire de Saint-Vallier, dans la Drôme. L’un d’eux est un adepte des arts martiaux historiques européens, une discipline qui compte environ 1 500 pratiquants en France et promeut des formes de combat tombées dans l’oubli en Europe, d’après un profil Instagram à son nom où il apparaît en costume médiéval.

    L’autre fait partie d’un conseil de quartier de la commune de Saint-Vallier, d’après le site internet de la mairie, et tous les deux appartiennent à une association de jeux de plateau d’inspiration médiévale.

    Les deux hommes se seraient présentés comme des « gilets jaunes » et auraient participé à un rassemblement non déclaré à la mi-journée, à Valence, qui réunissait des agriculteurs, des « gilets jaunes » et des militants de l’ultragauche.

    « Les deux hommes interpellés sont deux Drômois âgés de 28 ans, inconnus de la justice », précise Alex Perrin, procureur de la République à Valence. « À ce stade des gardes à vue, leurs motivations ne sont pas connues », a ajouté le magistrat, sans préciser davantage le profil des suspects.

    Les deux hommes âgés de 28 ans ont été placés en garde à vue pour « violence volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique », des faits passibles de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende.

    Selon les informations de de BFMTV, le domicile du suspect principal a été perquisitionné ce mardi soir.

    Par ailleurs, les journalistes de « Quotidien » ont rencontré par hasard Damien T. avec deux acolytes peu de temps avant l’agression. Damien T., en T-shirt vert sur la vidéo, ne s’est pas exprimé, mais l’un de ses comparses, qui s’est présenté comme anarchiste, a dit vouloir parler à Emmanuel Macron du « déclin de la France ».

    Ils sont tous les deux nés en 1992 et originaire de Saint-Vallier, dans la Drôme. L’un d’eux est un adepte des arts martiaux historiques européens, une discipline qui compte environ 1 500 pratiquants en France et promeut des formes de combat tombées dans l’oubli en Europe, d’après un profil Instagram à son nom où il apparaît en costume médiéval.

    L’autre fait partie d’un conseil de quartier de la commune de Saint-Vallier, d’après le site internet de la mairie, et tous les deux appartiennent à une association de jeux de plateau d’inspiration médiévale.

    Les deux hommes se seraient présentés comme des « gilets jaunes » et auraient participé à un rassemblement non déclaré à la mi-journée, à Valence, qui réunissait des agriculteurs, des « gilets jaunes » et des militants de l’ultragauche.

    « Les deux hommes interpellés sont deux Drômois âgés de 28 ans, inconnus de la justice », précise Alex Perrin, procureur de la République à Valence. « À ce stade des gardes à vue, leurs motivations ne sont pas connues », a ajouté le magistrat, sans préciser davantage le profil des suspects.

    Les deux hommes âgés de 28 ans ont été placés en garde à vue pour « violence volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique », des faits passibles de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende.

    Selon les informations de de BFMTV, le domicile du suspect principal a été perquisitionné ce mardi soir.

    Par ailleurs, les journalistes de « Quotidien » ont rencontré par hasard Damien T. avec deux acolytes peu de temps avant l’agression. Damien T., en T-shirt vert sur la vidéo, ne s’est pas exprimé, mais l’un de ses comparses, qui s’est présenté comme anarchiste, a dit vouloir parler à Emmanuel Macron du « déclin de la France ».

    Vidéo: Emmanuel Macron giflé dans la Drôme, deux personnes interpellées (Dailymotion)
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