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    By in Afrique share share share share share share share share share share share share share share share share share share

    La prise annoncée mardi, du Mouvement des forces démocratiques de Casamance par les forces armées sénégalaises, sonne le glas, pour les indépendantistes casamançais, d’une juteuse activité : culture et le commerce du cannabis. Des fermes industrielles de chanvre qui alimentaient l’économie de la rébellion.

    ‘’Soyez sûrs que toute cette zone est aujourd’hui une zone où se pratiquent des activités illicites, telles que le trafic de chanvre, le commerce de bois, l’exploitation de produits forestiers qui procurent une bonne manne financière à ces individus au détriment des populations locales. « , explique Lieutenant-colonel Clément Boucal, chef du commando sénégalais

    Depuis 40 ans, la vie des populations de cette région est agitée par le conflit entre l’Etat et les indépendantistes. Plusieurs personnes ont été obligées par les violences à abandonner leurs habitations. Pour l’armée, l’opération menée dans la région vise à favoriser leur retour.

    L’opération lancée le 26 janvier par les forces sénégalaises avec l’appui de la Guinée-Bissau permet selon Dakar, de rétablir la sécurité des habitants terrorisés par les rebelles casamançais qui se livraient aussi au commerce du précieux de bois de rose.

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