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    Dix ans après la révolution en Tunisie, l’heure est au bilan.

    Et dans les rues de Sidi Bouzid, la petite bourgade du centre d’où est parti ce mouvement de contestation l’heure n’est pas à la fête. Si la révolution a consolidé les acquis démocratiques de ce pays en particulier, la situation économique ne s’est guère améliorée. Les Tunisiens qui fondaient leurs espoirs dans un changement démocratique ont très vite déchanté. Les nouveaux dirigeants n’ont pas réussi à faire oublier Ben Ali.

    Paix à l’âme de Ben Ali. Paix à l’âme de Ben Ali. Nous avions de la nourriture en son temps,- mais ce n’est plus le cas depuis l’arrivée de l’assemblée maudite des représentants du peuple et d’Ennahdha explique un Tunisien.

    Ces manifestations contre le régime de Ben Ali avaient débuté un 17 décembre 2010, lorsqu’un jeune commerçant du nom de Mohamed Bouazizi s’était donné la mort en s’immolant devant le bureau du gouverneur de Sid Bouzid, en protestation à une répression policière. Son acte a aussitôt déclenché des vagues de manifestations dans tout le pays, qui allaient emporter le président Zine El Abidine Ben Ali, au pouvoir depuis 23 ans, en seulement dix jours.

    Dix ans après la Tunisie commémore chaque année cette période cruciale de son histoire.

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