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  • Donald Trump prolonge d’un an les sanctions contre le Soudan

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    © REUTERS/Jonathan Ernst Le président Donald Trump dans le bureau ovale. (Illustration)

    Dans une décision inattendue à quelques heures de l’élection présidentielle américaine, le président Donald Trump a signé, lundi 2 novembre au soir, un décret officiel prolongeant pour une année supplémentaire les sanctions contre le Soudan, placé sur la liste noire américaine des pays soutenant le terrorisme.

    Selon le communiqué de la Maison Blanche signé par Donald Trump, en dépit des récents développements positifs pris par Khartoum, la crise survenue en raison des actions et des politiques du gouvernement soudanais qui ont conduit à différentes sanctions depuis 1997, « n’est toujours pas résolue ». 

    Le communiqué précise que ces actions et ces politiques, « constituent toujours une menace inhabituelle et spéciale pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis ». Par conséquent, le président américain a décidé lundi soir qu’il était nécessaire de renouveler pour une année de plus les sanctions à l’égard du Soudan.
    Par le même décret, Donald Trump a également prolongé l’état d’urgence prononcé en 1997 aux États-Unis envers le Soudan en raison de la situation au Darfour.

    Plus tôt dans la journée, Donald Trump se félicitait, dans un tweet, du fait que le nouveau gouvernement du Soudan avait accepté de payer 335 millions de dollars « aux victimes américaines du terrorisme et à leurs familles ». Cette somme une fois versée, « je retirerai le Soudan de la liste des États soutenant le terrorisme », précise le président américain sans toutefois donner de date précise.

    Khartoum a signé en octobre dernier un accord de paix avec la rébellion au Darfour, elle a accepté de payer pour les victimes des attentats de 1998 de Dar es Salaam et de Nairobi. Elle a même accepté de normaliser, sous pression américaine, ses relations avec Israël… Elle espérait ainsi la levée de cette lourde sanction en vigueur depuis près de 30 ans, pour pouvoir redresser son économie agonisante.

    RFI

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