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  • Yatenga : Atelier de présentation du projet du «Améliorons nos vies !»

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    OuahigouyaDans le cadre de la mise en œuvre du projet ’’ Améliorons nos vies’’ : renforcement durable de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et de la cohésion sociale des communautés rurales du Burkina Faso et du Niger», la coordination du projet a organisé du 6 au 12 octobre 2020 à Ouahigouya et à Titao, une série d’ ateliers de présentation du projet et de validation des listes des villages d’intervention au profit des acteurs locaux. . 

    Ce projet est mis en œuvre par un consortium de dix partenaires dont six ONG du Burkina.

    Ce sont notamment ProgettoMondo Mlal (PMM) en qualité de chef de file, Fundación Educación y Cooperación (EDUCO), la Fédération Nationale des Groupements NAAM (FNGN), le Conseil Régional des Unions du Sahel (CRUS) et l’Association fédérative des organisations paysannes.

    Il y a également SOS SAHEL International Burkina Faso (SOS SAHEL BF), le Réseau Afrique Jeunesse – RAJ et quatre du Niger que sont COSPE Onlus, SOS SAHEL International Niger (SOS SAHEL NIGER), COOPI Cooperazione Internazionale, Comitato Internazionale per lo Sviluppo Dei Popoli – CISP.

    Au Burkina Faso, le projet ’’Améliorons nos vies’’ couvre onze communes dans la région du Nord, dans les provinces du Lorum et Yatenga, et deux communes dans la région du Sahel dans la province de l’Oudalan pour une durée de 48 mois.

    Il vise l’amélioration des conditions de vie, de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et s’intéresse à la cohésion sociale des populations vulnérables dans les localités les plus fragiles de ces 13 communes du pays.

    Dans l’optique de présenter le projet, la méthodologie de sa mise en œuvre et les membres du consortium, il s’est tenu du 6 au 12 octobre 2020 à Ouahigouya et à Titao, la série d’ateliers d’information et de travail du projet «Améliorons nos vies !» au profit des parties prenantes.

    La rencontre visait aussi à partager avec l’ensemble des participants, la démarche et les stratégies de cohérence géographique, de ciblage des bénéficiaires, des principes de sensibilité aux conflits, de genre et d’adaptation au contexte sécuritaire.

    Pour le coordonnateur général du projet, Salomon Nikièma, il s’est agi principalement de valider la liste des communes bénéficiaires.

    «Lorsque vous rédigez un projet, du début jusqu’au démarrage du projet, le contexte sur le terrain peut évoluer en termes d’accessibilité, de contrainte climatique et d’autres impératifs peuvent s’ajouter. C’est pourquoi nous avons convié les acteurs à la base que sont les maires des communes concernées, les directions techniques, la société civile notamment les responsables des femmes et des jeunes pour participer à la réflexion sur le choix des villages mais aussi, améliorer la méthodologie de mise en œuvre », a souligné M. Nikièma.

    Selon lui, il est important que cette liste soit validée pour que les bénéficiaires puissent être informés du processus et des attentes.

    «Nous avons déjà un certain nombre de critères que nous avons utilisés pour faire le mapping en ce qui concerne la zone d’intervention. Mais nous ne pouvons pas dire que ce travail est exact tant que les acteurs à la base n’ont pas confirmé ce qui a été dit dans le projet» a-t-il précisé.

    Pour le secrétaire général du gouvernorat du Nord Souleymane Nacanabo, ce projet va améliorer considérablement la vie des populations à travers une alimentation saine et une résilience à l’insécurité alimentaire.

    «Ce projet va venir changer considérablement la vie de nos populations très positivement et surtout que l’on estime que si tu as faim, tu n’es pas en bonne santé, nous espérons que ce projet va nous aider à mieux nous alimenter pour pouvoir être plus productifs à d’autres niveaux» a-t-il spécifié.

    Ces ateliers ont été une occasion pour la coordination de clarifier les rôles et les responsabilités de chaque partie prenante et informer les actions prioritaires d’urgence.

    Donald Wendpouiré NIKIEMA 

    AIB

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