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  • Burkina: «Les cantines scolaires utilisent plus de 75% de produits locaux» (ministre)

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    A l’occasion du mois du consommons local qu’est octobre, le ministre en charge du Commerce Harouna Kaboré a déclaré que «les cantines scolaires utilisent plus de 75% de produits locaux», avec «l’objectif d’atteindre les 100%».

    Dans sa déclaration parvenue à l’AIB lundi, le ministre en charge du Commerce Harouna Kaboré a déclaré qu’«aujourd’hui, on observe un changement progressif et positif de comportement et d’habitude (…des Burkinabè) en faveur des produits made in Burkina».

    Selon lui, «de plus en plus, au niveau vestimentaire, les jeunes, les femmes, les enfants et les personnes âgées, arborent fièrement les tenues en Faso Dan Fani ou en Koko Donda».

    «En outre, les cantines scolaires utilisent plus de 75% de produits locaux. L’objectif est d’atteindre les 100%», a-t-il indiqué.

    Octobre 2020, marque la commémoration de la première édition du «mois du consommons local dans l’espace UEMOA» qui a été instituée le 25 octobre 2019, à Ouagadougou par les ministres chargés du Commerce de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).

    Selon Harouna Kaboré, «au cours de ce mois, il est demandé aux Etats membres d’intensifier les actions de promotion de la consommation des produits locaux et ceux de l’espace UEMOA».

    Il a affirmé que «ces actions concerneront les produits agro-sylvo-pastoraux, artisanaux et industriels. Seront également concernés, les secteurs de production et de fourniture de services».

    Au Burkina Faso, les activités entrant dans le cadre du «mois du consommons local» se dérouleront les 12 et 15 octobre 2020 à Ouagadougou, a indiqué le ministre Kaboré.

    A l’occasion de cette première célébration, le ministre Kaboré a lancé «un appel à tous les Burkinabè, toutes les productrices et les producteurs, les transformatrices et les transformateurs, et à tous les consommateurs de produits locaux, à maintenir cet élan de patriotisme».

    Selon Harouna Kaboré, à chaque fois que des produits burkinabè sont consommés, «ce sont des emplois qui se créent, des revenus qui se forment et c’est toute l’économie nationale qui gagne».

    Il a indiqué qu’avant l’institution de ce mois par l’UEMOA, le Gouvernement burkinabè avait déjà mis en œuvre depuis 2016, le «mot d’ordre consommons Burkinabè».

    Harouna Kaboré a indiqué que le mot d’ordre a été suivi par la prise d’une circulaire et d’un arrêté par le Premier ministre qui ont permis l’«écoulement de certains produits notamment, le riz, la pomme de terre, la tomate, l’oignon, le niébé, le sucre et l’huile alimentaire», qui étaient en souffrance.

    A cela, il a ajouté la réalisation «du projet pilote de labellisation des produits du terroir (du pagne tissé Faso Dan Fani, du chapeau de Saponé, du pagne Kôkô donda, du beurre de karité et les produits des cuirs et peaux de Kaya)».

    Agence d’information du Burkina

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