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    Le ministre de la culture, des arts et du tourisme (MCAT), Abdoul Karim Sango, a présidé, le dimanche 21 juin 2020, la première édition de «Misik Wakato», lancée à l’occasion de la fête de la musique.

    Célébrée le 21 juin de chaque année, la fête de la musique vise à promouvoir la musique et à encourager les musiciens amateurs et professionnels à se produire bénévolement dans les rues et autres espaces publics. Au Burkina Faso, c’est à Tenkodogo, dans la cité de «Zoungrantenga», que l’évènement a été célébré, à travers la première édition de «Misik Wakato», organisé par l’agence Hono Management. Pour la réussite de ce premier rendez-vous, les organisateurs ont mis les petits plats dans les grands pour offrir une soirée en sons et en lumière aux mélomanes de la musique de la cité de «Zoungrantenga».

    Durant 3 heures d’horloge, l’orchestre Tenko Jaz, les artistes musiciens tels Floby, Hawa Boussim, Patricia Minoungou, Fleur Ouédraogo, Don Sharp de Batoro, Pam Luster, Eunice Goula, Maria Bissongo, Rama, et la troupe traditionnelle de Hamado Bambara de Garango ont tenu en haleine le nombreux public et les autorités qui ont fait le déplacement. C’est une excellente occasion pour ces artistes, a souligné le ministre Abdoul Karim Sango, de se retrouver autour de la musique, et de mettre en application les exigences de la culture. Pour lui, elle reste une arme redoutable de lutte contre toute forme d’adversités, dont celle liée à la maladie à Coronavirus.

    « Il était important dans ces moments difficiles, liées à la maladie à coronavirus et à l’insécurité, de trouver un espace pour passer, ensemble, de bons moments avec une palette d’artistes très talentueux de notre pays et qui portent haut le flambeau de la musique burkinabè », a-t-il déclaré. Au-delà des aspects festifs et de distraction, les burkinabè, a poursuivi le ministre Sango, sont invités à vivre unis et soudés pour hisser haut le drapeau de la culture burkinabè. Sans fausse modestie, les artistes musiciens du Burkina sont capables, a-t-il soutenu, de rivaliser avec les artistes étrangers sur les scènes internationales. Quant à l’initiatrice de «Misik Wakato», l’agence Hono Management, elle a promis de sillonner toutes les régions du Burkina Faso afin d’offrir de la « musique de qualité » à tous les mélomanes burkinabè,

    Bougnan NAON

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