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  • Reprise de l’opération de révision des listes électorales: l’Opposition alertée par des difficultés dans certaines zones

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    Extrait du point de presse du Chef de file de l’opposition politique au Burkina (CFOP) du mardi 12 mai 2020 animé par le Dr Alain Zoubga, Président de l’Autre Burkina / Parti pour le Socialisme et la Refondation (L’Autre Burkina / PSR); et M. Carlos TOE, Président du Mouvement pour le Changement et la Renaissance (MCR).

    Le vendredi 08 mai dernier à Tenkodogo, la Commission électorale nationale indépendant (CENI) a lancé officiellement la reprise de l’opération de révision des listes électorales.
    Cette étape de l’enrôlement, la 5ème depuis le début du processus, concerne 05 provinces : le Boulgou, le Koulpélogo, le Gourma, le Namentenga et le Zoundwéogo. La CENI a prévu dans ces provinces 1810 points d’enrôlement.
    L’Opposition politique se réjouit de la reprise de l’enrôlement des électeurs. Elle invite l’ensemble des citoyens des zones concernées, qui n’ont pas leurs cartes d’électeurs, de même que ceux qui auront 18 ans ou plus le 22 novembre 2020, à se faire enrôler pour pouvoir voter.

    L’élection est la voie pacifique, démocratique et constitutionnelle qui nous permet de placer des dirigeants compétents et soucieux de notre avenir, à la tête du pays.

    A cette 5ème étape de l’enrôlement, des responsables locaux de l’Opposition nous ont alertés de ce qu’il y a des difficultés dans certaines zones :

    dans les communes de Tougouri et de Yalgo dans le Namentenga, les appareils de la CENI ne fonctionnent pas comme il faut. Dans ces deux communes, depuis le début de l’enrôlement, à peine une dizaine de personnes ont été enrôlées pour cause de défection des machines.
    Dans le Gourma, sur les 34 villages rattachés à Fada N’Gourma, il y a des points d’enrôlement dans seulement 2 villages. Sur 101 sites d’enrôlement prévus dans la commune, seulement 51 sont finalement ouverts (et ce, après un plaidoyer), à cause des problèmes sécuritaires.
    Dans d’autres communes rurales, l’insécurité perturbe le processus d’enrôlement.

    Dans le Boulgou, les machines ne fonctionnent pas correctement par endroit.

    Ainsi, à Garango, une dizaine de CNIB de personnes souhaitant se faire enrôler affichent des données de personnes résidant à Pouytenga. D’autres CNIB nouvellement établies n’apparaissent pas dans la base de données de l’Office national d’identification (ONI).

    A Béguedo, les représentants locaux du MPP ont tenté d’empêcher les militants d’autres partis, surtout ceux de l’Opposition, de se faire enrôler. L’arrivée des autorités administratives et des représentants de l’Opposition a permis que les choses rentrent dans l’ordre.

    Dans le Koulpelogo, l’enrôlement a timidement débuté sur certains sites à cause des appareils dont le chargement des batteries était difficile.
    Dans les communes en proie de terrorisme, plusieurs sites d’enrôlement ont été supprimés.

    Beaucoup d’électeurs qui avaient fait leur CNIB avant la quarantaine ne l’ont pas encore reçue.

    Par contre des responsables du MPP distribuent des CNIB à leurs militants puisqu’ils avaient pris le soin d’établir les listes. Or, beaucoup d’habitants détiennent des CNIB expirées et veulent s’enrôler.

    En outre, nombreux sont les déplacés qui souhaitent se faire enrôler mais n’ont pas de Carte nationale d’identité.

    Au regard de ces faits constatés, l’Opposition politique invite la CENI à corriger ces graves anomalies pour une poursuite sereine de l’enrôlement des électeurs.

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