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    Comme beaucoup d’autres événements sportifs dans le monde, les jeux olympiques de Tokyo ont été reportés à l’an prochain en raison de la pandémie du coronavirus.

    Mais pour Nada Laaraj, il est hors de question de se relâcher. Celle qui représentera le Maroc au taekwondo dans la catégorie des 57 kg tient à respecter son programme d’entraînement malgré le confinement, quitte à s’entraîner à la maison.

    Concernant notre situation pendant le confinement, j’essaie de la prendre du côté positif et j’essaie aussi de créer une atmosphère pour éviter tout ce qui est négatif, bien sûr parce qu’un champion doit toujours être positif” .

    En compagnie de sa sœur Farah, championne marocaine de taekwondo, elle reçoit les instructions de son coach grâce aux appels vidéos sur les réseaux sociaux. Et Même si le procédé n’est pas plaisant, elle apprend à faire avec les moyens de bord.

    La communication à distance ne me suffit pas, mais nous profitons de ce qui est disponible pour le moment, malgré cette insuffisance, mais c’est bon pour moi, car, il y a au moins une possibilité de communiquer avec le coach”, précise Nada Laaraj.

    Je dois aider ma sœur, c’est évident, je m’entraîne avec elle, je l’aide surtout que je suis le champion de taekwondo du Maroc, donc c’est normal que je l’aide à créer la meilleure ambiance d’entraînement possible, surtout qu’elle se prépare pour un événement important, les Jeux olympiques. Notre espoir est qu’elle représente bien le Maroc”, avance Farah laaraj.

    Sicot, qui a commencé le programme d’entraînement le 16 mars, tient deux séances par jour : une séance de conditionnement physique le matin et une séance technique le soir. Pour Nada, le reste n’est plus qu’une question d’endurance, jusqu’au 23 juillet date retenue pour le lancement des JO de Tokyo.

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