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  • Coronavirus: la guerre des masques est déclarée

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    Comme l’épidémie de coronavirus, la compétition pour se procurer médicaments et équipements de protection est devenue mondiale. Ainsi, tous les pays s’arrachent les masques. Pas de quartier, les grandes puissances avec à leur tête les États-Unis, font monter les enchères en Chine où sont fabriqués ces masques.

    Dans une usine de fabrication de masques à Shangai, en Chine, le 31 janvier 2020.

    La concurrence est mondiale et la Chine vend au plus offrant. Ces derniers jours, des avions chargés de masques destinés à la France ont été détournés par des Américains, regrettent plusieurs présidents de région ici en France.

    À Berlin, les autorités dénoncent également des actes de piraterie. La police allemande devra encore attendre avant de recevoir ses masques. La cargaison qui lui était destinée s’est volatilisée sur le tarmac d’un aéroport chinois.

    La France n’est pas non plus qu’une victime

    Derrière ces détournements de masques, des Américains avec leurs mallettes de billets verts. Ils payent en liquide, deux fois voire trois fois le prix. Oubliée la destination d’origine, les avions et leurs cargaisons sont alors envoyés aux États Unis.

    Mais derrière ce marché parallèle, ce commerce sauvage du masque, les Américains ne sont pas les seuls. La République Tchèque s’est accaparée des équipements de protection à destination de l’Italie.

    La France n’est pas non plus qu’une victime. Quatre millions de masques qui étaient la propriété d’une entreprise suédoise et qui transitaient par l’Hexagone ont été en partie réquisitionnés. Seule la moitié est arrivée à destination.

     Sami Boukhelifa – RFI

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