• Adjamé-Liberté se réinvente : du chaos urbain à l’écrin de dignité
  • Sharaph Coulibaly, étoile d’or du reggae 2025 — Une consécration au SIAO pour un artiste en pleine apothéose
  • Incendie à la mairie de Lakota : les locaux de l’État civil réduits en cendres, une onde de choc dans la cité
  • MESSAGE DE FÉLICITATIONS DE RADIO TANKONNON À SA SAINTETÉ LE PAPE LÉON XIV
  • ROME, MESSAGÈRE DE L’INVISIBLE : L’INTRONISATION D’UN PAPE, ENTRE CÉRÉMONIAL ET VERTIGE DU DON DE SOI
  • Général Lamizana, un bâtisseur effacé de la Haute-Volta : austérité, dialogue et vision républicaine
  • Patrimoine et justice : entre enracinement culturel au Burkina Faso et débats sur l’indépendance judiciaire en Côte d’Ivoire
  • Youcef Atal condamné pour incitation à la haine religieuse : la justice française tranche, le débat public s’enflamme
  • Liberté provisoire pour le syndicaliste Ghislain Assy dit Dugarry : une décision sous haute pression sociale
  • À Koudougou, le ministre Jacques Sosthène Dingara plaide pour une éducation enracinée dans les valeurs culturelles africaines
  • Lumières sur Munich : le PSG terrasse Arsenal et s’offre une place en finale de Ligue des Champions
  • Sharaph Coulibaly, l’étoile constante du reggae burkinabè : de la consécration en 2019 aux portes de la légende en 2025
  • Journalistes africains : entre feu et silence, ils tiennent la plume de nos libertés
  • AGANA en escale à AZK Live : un rendez-vous musical sous le signe du reggae urbain, de la conscience et de l’authenticité
  • 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐓𝐄 𝐑𝐄𝐍𝐃𝐔 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐄𝐒 𝐃𝐔 𝟎𝟐 𝐌𝐀𝐈 𝟐𝟎𝟐𝟓
  • La nationalisation des mines au Burkina Faso : vers une souveraineté économique assumée
  • OFFICIEL — Interdiction des femmes transgenres dans le football féminin : la Fédération anglaise acte une décision historique et controversée
  • Titre : « Et Dieu créa la femme… » : Aux origines d’un dessein sacré, entre soutien, puissance et mystère
  • Loumbila, matrice nourricière de la résilience nationale : inauguration du site maraîcher du 8-Mars, promesse tenue du Capitaine Ibrahim Traoré
  • Israël en proie aux flammes : une catastrophe écologique et humaine à l’ouest de Jérusalem
  • FRANCE/ Confinement : face à la forte hausse des violences conjugales, un dispositif d’alerte mis en place

    By in Actualités share share share share share share share share share share share share share share share share share share

    Après avoir annoncé une augmentation des violences conjugales de « 32 % en une semaine » en France, le ministre de l’Intérieur a annoncé, jeudi soir, la mise en place d’un système d’alerte dans les pharmacies pour les femmes violentées en cette période de confinement.

    Les femmes victimes de violences conjugales pourront donner l’alerte en pharmacie. Un système destiné aux femmes victimes de violences de la part de leur conjoint sera mis en place dans les pharmacies, pendant la période de confinement, a annoncé, jeudi 26 mars, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

    Interrogé sur France 2, celui-ci a relevé que le confinement mis en place depuis le 17 mars pour endiguer l’épidémie de coronavirus avait eu pour conséquence une augmentation des violences conjugales. « En zone gendarmerie » (qui correspond à des secteurs ruraux ou périphériques), ces violences ont augmenté de « 32 % en une semaine », a-t-il déclaré. Dans la zone de la préfecture de police de Paris, elles ont été en hausse de « 36 % en une semaine ».

    Christophe Castaner@CCastaner

    #NeRienLaisserPasser et plus que jamais en cette période qui accroît les risques : après entretien avec la présidente de @Ordre_Pharma, les victimes de violences conjugales pourront se signaler auprès de leur pharmacien de quartier, qui alertera les forces de l’ordre.#VALP49118:04 – 26 mars 2020Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité322 personnes parlent à ce sujet

    Utilisation d’un code

    Le ministre de l’Intérieur a expliqué avoir décidé, avec l’Ordre national des pharmaciens, de mettre en place un dispositif, au sein des officines, permettant aux femmes victimes d’alerter les forces de l’ordre.

    Par exemple, « dans la pharmacie, au moment où la femme se rend sans son mari » pour aller chercher des médicaments, il faut qu’elle « puisse donner l’alerte », a-t-il expliqué.

    Quid si son mari est avec elle ? Dans cette hypothèse, le ministre a évoqué la possibilité que celle-ci utilise un « code », « par exemple : masque 19 ». Un système déjà mis en place en Espagne.

    Des consignes seront données pour que les forces de l’ordre puissent « intervenir en urgence », a-t-il dit, en assurant que la lutte contre les violences conjugales était « une priorité ».

    « Avec Marlène Schiappa (la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes), demain (vendredi), nous allons avancer pour que ce soit partout sur le territoire national un des moyens de protection », a-t-il poursuivi.

    Avec AFP

    Tags:
    Recommended posts
    Recommended posts